Let's get loud VIII
26 octobre 2025
L'Éducation sexuelle
Pour m'initier à ses domaines réservés et assouvir ses fantasmes, mon chéri s'organise comme un chef: hôtel, restaurant gastronomique et exercices sexuels- et moi je suis son modèle, son jardin défraîchi, bref son terrain de jeu. Mon corps, tout mon corps, tous mes appâts sont à lui; tous ses atouts m'en reviennent de même. Un jeu de rôle passionnant et amusant. Il me fait subir tout et je m'exécute à ses desiderata. Ainsi m'intime-t-il l'ordre de le sucer et de lui pratiquer le Ashi koki ( je le masturbe avec mes pieds), et tout cela avec une alternative rodée qui le porte aux nues. Je fais de sa bite monstrueuse le centre de ses convulsions lubriques. Il bande comme un étalon, mon petit satyre. Son gland habituellement impressionnant prend sous l'effet de ma bouche et de ma langue une proportion encore trop hallucinante pour me le fourrer facilement. Aux anges, au bord de l'extase, il doit me supplier de faire pause, de peur d'atteindre, avant une certaine commotion chimique, entraînant une volupté intense, de peur d'atteindre, dis-je, le Iku ( l'orgasme) prématurément. Ça m'amuse de continuer et de le voir m'en empêcher. Il secoue la tête à ma nonchalance, qui accompagne mes amusements lubriques. Pour le garder sous mon œil et le tenir en érection, je lui masse son sexe turgescent. Je lui pratique le Te koki, sans pour autant allet jusqu'à déclencher l'éjaculation. Il savoure, gémit, me complimente... " oui chérie ", " continue mon amour ", " ouiiii! c'est ça, vas-y ", tout en serrant mes cheveux en queue de cheval- sans un jeu de mots, et en baisant ma bouche affamée. Enhardie, je le suce derechef ; sa bite grossit oh mon dieu, son souffle s'accélère et son coeur s'emballe. Il atteint un certain degré de plaisir. Je le connais. " Stop", me dit-il. À ces entrefaites, il va chercher le Harigata ( godemichet), me l'introduit dans la chatte ; aucun effet sur moi; mon con est large et haut fendu. Il sort le plug anal qu'il m'a offert à Noël 2022, et avant de me le planter dans le cul, il me le lèche d'abord ; je m'y soumets volontiers et avec plaisir- ma vibration voluptueuse s'accomplit dans le Fukujuu. Comme toutes les femmes mes deux passions favorites, c'est " la gloire de la défense et le plaisir de la défaite ". Merci Madame Merteuil. Mon anus assez lubrifié et après deux-trois tentatives, mes sphinchters cèdent et mon cul avale l'objet en entier. Le Chikan est content, excité à blanc, tremble de désir et de plaisir mêlés, ne sais plus par où me manger ; je suis sa proie, son objet sexuel. Il me fait me mettre en position quatre pattes, me prend en photo et m'invite aussitôt à le suivre dans la salle de bains : surprise ! Sous la douche, dans la baignoire, il me pratique une urolagnie, me pisse partout dessus; mouillée de tout mon corps il m'enconne, me pratique un Fakku. " je sens rien ", lui dis-je. Il se retire, contrarié, me retire le plug nerveusement du cul et bim m'encule à sec. Oh foutredieu j'ai senti son bolard défoncer mon contour aux plis radiés, mes appréhensions se vérifier et assisté à ma résistance capituler. C'est un anéantissement massif de tout mon être. Ma reddition à l'œuvre. Comme une décharge électrique traverse toute mon anatomie et poinçonne mes parties intimes. À peine sa pine dans l'intérieur de mon cul qu'il crache , son Nakadashi atteint enfin, vu ma silhouette à la renverse qui provoque ses hennissements. Mon mal centuple son plaisir et c'est en rougissant qu'il m'étreint contre lui, tout frémissant. Je sens des giclettes de foutre tapoter les proies internes de mon tube. Il se retire en me tendant sa bite souillée à pomper. " Non! elle est sale", dis-je. Il la lave avec une lingette à disposition et me la redonne comme une sucette. Je la gobe entièrement ; aussitôt une deuxième éjaculation s'en suit, plus puissante et plus généreuse; j'avale tout . Exalté, il branle son engin sur mes Oppai qu'il asperge de gouttelettes de sperme. On retourne dans la chambre ; il m'ordonne de m'allonger sur le dos et c'est tête-bêche qu'il attaque à lécher en ventouse ma vulve en aspirant les grosses et les petites lèvres, le clitoris ; avec les doigts il triture mon anus gonflé et dilaté. Ça a duré trois-quarts d'heure environ, avant de me voir plongée enfin à mon tour dans un Ahegao aussi nerveux qu'une commotion. Un étourdissement me plonge dans une syncope évanouissante; mes capacités physiques et cérébrales anéanties, je me retrouve à sa merci, incapable de me relever, ni de piper mot. Je le regarde boire son plaisir et sa satisfaction, malaxer mon sexe et grater mes cuisses encore fumantes sans épargner mon anus aussi ouvert qu'une rose épanouie, les marisques dues à sa régulière sodomie gonflées comme des pendeloques. Accroupi sur mon visage, l'anus palpitant, il me demande de le lui gamahucher. Exécution immédiate en le masturbant en même temps. Ce jeu le met hors de lui; les yeux fermés, il dodline sur le rythme de ma langue qui va et vient sur sa chaire ramollie ; une troisième pollution se produit, surgie dans un cri de volupté. Chatouillé de partout, tremblant de tout son corps, il m'inonde le ventre et les seins de ce lait caillé. Satisfaits tous les deux, exténués de plaisir, on se met à boire à notre santé sexuelle. Merci pour votre lecture de ce Lemon, cette petite histoire de nos corps en ébullition.
Pour m'initier à ses domaines réservés et assouvir ses fantasmes, mon chéri s'organise comme un chef: hôtel, restaurant gastronomique et exercices sexuels- et moi je suis son modèle, son jardin défraîchi, bref son terrain de jeu. Mon corps, tout mon corps, tous mes appâts sont à lui; tous ses atouts m'en reviennent de même. Un jeu de rôle passionnant et amusant. Il me fait subir tout et je m'exécute à ses desiderata. Ainsi m'intime-t-il l'ordre de le sucer et de lui pratiquer le Ashi koki ( je le masturbe avec mes pieds), et tout cela avec une alternative rodée qui le porte aux nues. Je fais de sa bite monstrueuse le centre de ses convulsions lubriques. Il bande comme un étalon, mon petit satyre. Son gland habituellement impressionnant prend sous l'effet de ma bouche et de ma langue une proportion encore trop hallucinante pour me le fourrer facilement. Aux anges, au bord de l'extase, il doit me supplier de faire pause, de peur d'atteindre, avant une certaine commotion chimique, entraînant une volupté intense, de peur d'atteindre, dis-je, le Iku ( l'orgasme) prématurément. Ça m'amuse de continuer et de le voir m'en empêcher. Il secoue la tête à ma nonchalance, qui accompagne mes amusements lubriques. Pour le garder sous mon œil et le tenir en érection, je lui masse son sexe turgescent. Je lui pratique le Te koki, sans pour autant allet jusqu'à déclencher l'éjaculation. Il savoure, gémit, me complimente... " oui chérie ", " continue mon amour ", " ouiiii! c'est ça, vas-y ", tout en serrant mes cheveux en queue de cheval- sans un jeu de mots, et en baisant ma bouche affamée. Enhardie, je le suce derechef ; sa bite grossit oh mon dieu, son souffle s'accélère et son coeur s'emballe. Il atteint un certain degré de plaisir. Je le connais. " Stop", me dit-il. À ces entrefaites, il va chercher le Harigata ( godemichet), me l'introduit dans la chatte ; aucun effet sur moi; mon con est large et haut fendu. Il sort le plug anal qu'il m'a offert à Noël 2022, et avant de me le planter dans le cul, il me le lèche d'abord ; je m'y soumets volontiers et avec plaisir- ma vibration voluptueuse s'accomplit dans le Fukujuu. Comme toutes les femmes mes deux passions favorites, c'est " la gloire de la défense et le plaisir de la défaite ". Merci Madame Merteuil. Mon anus assez lubrifié et après deux-trois tentatives, mes sphinchters cèdent et mon cul avale l'objet en entier. Le Chikan est content, excité à blanc, tremble de désir et de plaisir mêlés, ne sais plus par où me manger ; je suis sa proie, son objet sexuel. Il me fait me mettre en position quatre pattes, me prend en photo et m'invite aussitôt à le suivre dans la salle de bains : surprise ! Sous la douche, dans la baignoire, il me pratique une urolagnie, me pisse partout dessus; mouillée de tout mon corps il m'enconne, me pratique un Fakku. " je sens rien ", lui dis-je. Il se retire, contrarié, me retire le plug nerveusement du cul et bim m'encule à sec. Oh foutredieu j'ai senti son bolard défoncer mon contour aux plis radiés, mes appréhensions se vérifier et assisté à ma résistance capituler. C'est un anéantissement massif de tout mon être. Ma reddition à l'œuvre. Comme une décharge électrique traverse toute mon anatomie et poinçonne mes parties intimes. À peine sa pine dans l'intérieur de mon cul qu'il crache , son Nakadashi atteint enfin, vu ma silhouette à la renverse qui provoque ses hennissements. Mon mal centuple son plaisir et c'est en rougissant qu'il m'étreint contre lui, tout frémissant. Je sens des giclettes de foutre tapoter les proies internes de mon tube. Il se retire en me tendant sa bite souillée à pomper. " Non! elle est sale", dis-je. Il la lave avec une lingette à disposition et me la redonne comme une sucette. Je la gobe entièrement ; aussitôt une deuxième éjaculation s'en suit, plus puissante et plus généreuse; j'avale tout . Exalté, il branle son engin sur mes Oppai qu'il asperge de gouttelettes de sperme. On retourne dans la chambre ; il m'ordonne de m'allonger sur le dos et c'est tête-bêche qu'il attaque à lécher en ventouse ma vulve en aspirant les grosses et les petites lèvres, le clitoris ; avec les doigts il triture mon anus gonflé et dilaté. Ça a duré trois-quarts d'heure environ, avant de me voir plongée enfin à mon tour dans un Ahegao aussi nerveux qu'une commotion. Un étourdissement me plonge dans une syncope évanouissante; mes capacités physiques et cérébrales anéanties, je me retrouve à sa merci, incapable de me relever, ni de piper mot. Je le regarde boire son plaisir et sa satisfaction, malaxer mon sexe et grater mes cuisses encore fumantes sans épargner mon anus aussi ouvert qu'une rose épanouie, les marisques dues à sa régulière sodomie gonflées comme des pendeloques. Accroupi sur mon visage, l'anus palpitant, il me demande de le lui gamahucher. Exécution immédiate en le masturbant en même temps. Ce jeu le met hors de lui; les yeux fermés, il dodline sur le rythme de ma langue qui va et vient sur sa chaire ramollie ; une troisième pollution se produit, surgie dans un cri de volupté. Chatouillé de partout, tremblant de tout son corps, il m'inonde le ventre et les seins de ce lait caillé. Satisfaits tous les deux, exténués de plaisir, on se met à boire à notre santé sexuelle. Merci pour votre lecture de ce Lemon, cette petite histoire de nos corps en ébullition.
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eric23
26 octobre - 04h58
joli ta queue j'aimerai la faire jouir
star
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