II- Le démon du bien. 2)- l'orgasme

"L'orgasme (du grec : ὀργασμός / orgasmós, de ὀργᾶν / orgân, « bouillonner d'ardeur ») est la réponse physiologique qui a lieu au maximum de la phase d'excitation sexuelle. L'orgasme libère notamment deux neuropeptides, l'ocytocine et la prolactine, qui provoquent une profonde sensation de bien-être."

Mon satyre énervé au désir sexuel exubérant a frappé encore, et c'est mon troufion qui a subi ses foudres sans ménagement. Pour me baiser selon ses lubies, il me fait subir ce qu'une autre femme n'accepterait jamais. Passons sur les fellations, les différentes positions, les retournements et les doigtages de mon minou et de mon trou du cul. Passons aussi sur les reniflements de mes appâts, les baisers sur ma bouche et tout mon corps, les fessées avec un martinet aux lamelles en cuir, le plug qu'il m'introduit dans le cul, l'anneau pénien qui gonfle son engin, le gonflement de ce dernier avec une pompe dédiée, les menottes, le gel pour massage dont il me lubrifie le dos, les seins, les fesses et tous mes trous. Passons sur l'anulingus et son fameux cunnilingus, qui me jettent dans des syncopes hallucinantes. Il me bifle, me fait lécher les fesses aussi jusqu'à sa pâmoison voluptueuse. Passons sur tout ça, dis-je. C'est mon cul qui le rend fou , dingue, furieux des fois. C'est mon cul qui est le der des ders de toute la panoplie de ses préliminaires. C'est lui, mon cul, qui ramasse tout, dans tous les sens du verbe: sa grosse bite au gland comme un champignon, me fait m'incliner, me trouvant à quatre pattes coincée par ses membres et impossible de le faire déculer. Son coup de boutoir me met souvent à la renverse et lui au au-dessus de moi, collé à moi comme un chien à sa levrette, coincés , vérouillés. Au comble de son excitation et au bout de sa saillie, mon cul reçoit tout le jus à l'intérieur et c'est là seulement que je peux espérer une accalmie. Jusqu'à sa nouvelle lubie qui me verra me soumettre encore pour faire plaisir à Monsieur.