Le matin, dès le réveil

Un peu de littérature érotique, inspirée de la réalité sexuelle

Il m'a demandé de me mettre en position-en levrette-et induit son vit de salive gluante, gamahuché ma rondelle sensible et serrée- je tremblotait à l'idée de le voir mettre son anneau pénien lui serrant son objet et rendant l'appareil plus tendu, plus gros, et le gland plus fertile et plus percutant. Après avoir taté mon anus , il m'a encore demandé de le sucer pour exacerber sa luxure, il a décidé enfin de passer à l'attaque de mon cul: comme d'habitude, sans sommation, sans crier gare ; il a posé son gland sur les parois de mon petit, et voilà d'un coup vigoureux il me pénètre les sphincters; mon dieu! j'ai senti comme un pieux envahir mes entrailles ; j'ai crié en vain ; essayé de le faire déculer en vain encore ; le coquin a vidé son nectar dans mon cul et abondamment. Enfin il s'est retiré mais en arrachant l'intérieur de mon anus plein de marisques à force de me sodomiser à tout bout de champ. Je l'avoue : il m'a fait du bien en me faisant du mal.