Couilles pressées 2

Sur cette série, la lumière ne me plaisait pas et j'ai forcé les contrastes chromatiques. J'ai aussi serré davantage. Mes prunes ont mûri très vite sous la pression. Sont passées du rose au violet. Un délice : l'envie de les croquer ! J'adore les poils qui partent dans tous les sens sur le miroir de la peau tendue. De l'autre main, entre deux prises de vue, je branlait le gland. Quand le sperme est monté, je l'ai senti venir dans mes doigts serrés, très chaud. Cela a accentué la pression. J'ai giclé longuement, avec des soubresauts dans le ventre. Quand j'ai relâché mes couilles, j'ai pris une dernière photo : la bille congestionnée et libérée ressemblait à un oursin !