Veules-les-Roses

La plage est immense à Veules. Les baigneurs se concentrent au dégeuloir de la route et n’arpentent guère la plage, loin sous les falaises qui mènent à Saint-Valéry-en-Caux. Il n’y a guère que quelques collecteurs de silex aux formes surprenantes. Une activité interdite, d’ailleurs. Mais il n’est pas interdit de se faire plaisir ! Le lieu est tout indiqué pour branler tranquillement sa trique en plein air dans un paysage grandiose. Le collectionneur (ou mieux encore : la collectionneuse ) de cailloux est même bienvenu-e : je dois dire que je le/la provoque un peu en m’approchant de lui ou d’elle. Imaginez : une fille curieuse des choses de la nature, penchée sur le sol à la recherche du caillou improbable offre en permanence son cul ! Les mains dans le sable, jambes tendues, la jupe relevée sur le dos, fesses ouvertes, anus découvert, la tentation est grande d’enfiler directement ma pine : c'est juste la bonne hauteur ! Pour ne pas être indélicat, je propose d’abord de prendre en main un caillou bien ferme et oblong, un minerai rare jamais cueilli ici ! Davantage qu’un caillou froid, c’est un bâton, bien chaud d’avoir été frotté. L’eau de mer facilite le glissement des doigts, le vent caresse les couilles en se faufilant entre les cuisses, la main qui ne branle pas se fait baladeuse sur les fesses et dans le cul… Un autre baladeur arrivé entre temps, s’approche et apprécie en connaisseur. Il soupèse mes couilles, les fait tourner, les étire, et attend que l’écume jaillisse ailleurs que sur les vagues pour continuer son chemin… Je n'ai pu prendre que les premières photos, celles de ma branle. Après j'étais trop occupé et avait l'esprit, la bite, les couilles échauffées, tout à la fois !